Posté le vendredi 30 juin 2017
La question se pose en France comme ailleurs tant les Agences de Sécurité nucléaire sont sous la pression du lobby nucléaire.
En France, malgré des anomalies de fabrication dûment constatées sur ce qui compose la première barrière de sécurité de l’EPR de Flamanville, L’ASN avance vers une autorisation de mise en service.
A lire ici https://www.alternatives-economiques.fr/pression-lobby-nucleaire/00079490
Chez nous, on voit ce qu’il en est avec l’autorisation de redémarrage donnée par notre agence de sécurité aux réacteurs fissurés de Doel 3 et de Tihange 2.
Tout cela dans un silence assourdissant du gouvernement fédéral !
Combien de chaîne humaine devrons-nous former pour faire entendre la raison ?